Du 3 au 5 octobre, les campus dijonnais et lyonnais de la Burgundy school of business, BSB, présentaient leur nouveau dispositif : One Health Center. Lancé depuis la rentrée de septembre, ce dernier agrège l’ensemble de ce qui est mis en place pour favoriser le bien-être et l’épanouissement personnel de l’étudiant. Objectif ? Devenir l’École de référence de l’expérience étudiante, répond l’établissement dans un communiqué de presse.

« À BSB, nous sommes convaincus qu’un élève bien dans son environnement, dans son corps et dans sa tête, est un élève heureux, et qu’il sera ainsi dans les meilleures dispositions pour apprendre, souligne Orlane Ballorin, coordinatrice du One Health Center de BSB. Afin de répondre à cette ambition, nous adoptons une approche One Health qui considère que les organismes vivants et les écosystèmes sont interconnectés et que la santé des uns dépend de celle des autres. C’est une vision globale des enjeux sanitaires qui tient compte des liens complexes entre entités et notamment des impacts de l’activité humaine sur l’environnement. »

One Health Center, un programme bien-être sur mesure

Pour pouvoir proposer un accompagnement sur mesure, ce nouveau dispositif est à la disposition des élèves pour aborder les questions de la nutrition, du sport, de la gestion du stress, du sommeil, mais aussi pour échanger sur des problématiques plus sensibles comme les addictions, le harcèlement ou la discrimination. Grâce à des ateliers, mais aussi des formations et des conférences ou encore des rendez-vous individuels, chacun pourra à l’issue créer son propre programme.

« Sur la dimension de santé mentale, nous avons par exemple une cellule de soutien psychologique qui permet d’être accompagné par des professionnels dans des périodes difficiles, mais nous proposons également un accueil d’urgence si besoin, des ateliers d’art-thérapie et de sophrologie, ainsi que des massages assis pour se relaxer sur un temps court. Pour la santé physique, une salle de sport est à disposition et nous organisons des cours de fitness, de yoga et de Pilates. Un suivi nutritionnel par une diététicienne professionnelle est aussi possible », détaille Orlane Ballorin. Plus globalement, l’établissement pourra s’appuyer sur ce dispositif pour sensibiliser et former ses étudiants aux différentes formes de harcèlement, de discriminations et de violences sexistes et sexuelles.

Antonin Tabard