En acquérant Scout Bio, le pionnier américain des biotechnologies de pointe dans les soins aux animaux de compagnie, l’entreprise française déjà présente dans 110 pays, Ceva Santé Animale, accède et intègre des innovations clés comme l’emploi d’anticorps monoclonaux et le développement de la thérapie génique pour apporter une solution aux maladies chroniques chez les animaux de compagnie.

« La force du groupe, qui est l’un des leaders de la santé animale, va propulser nos initiatives dans de nouvelles dimensions. Grâce à la puissance de Ceva, nous allons être en mesure d’accélérer encore davantage les innovations dans le domaine biothérapeutique pour le bien-être des animaux de compagnie et le bonheur de leurs propriétaires », souligne Mark Heffernan. Jusqu’alors directeur général de Scout Bio, ce dernier est devenu directeur des activités biothérapeutiques et du Campus Biotech de Ceva à Philadelphie.

Ceva accélère ses activités dans l’innovation biothérapeutique

Avec cette acquisition, l’entreprise française affirme sa volonté de renforcer l’ensemble de ses activités biotechnologiques en s’appuyant sur l’héritage de Scout Bio et d’accélérer l’innovation dans les biothérapies, tout en continuant le développement de solutions préventives pour soigner tous les animaux.

« Avec l’humanisation toujours croissante des animaux de compagnie, les propriétaires aspirent à vivre mieux et plus longtemps avec leurs compagnons à quatre pattes, affirme le Docteur Marc Prikazsky, président – directeur général de Ceva. Cette alliance stratégique nous offre l’opportunité de développer des produits et des solutions qui répondent à ces attentes. Ensemble, nous sommes prêts à jouer un rôle clé dans l’élaboration des solutions biothérapeutiques de demain pour le bien-être des animaux, et ce, aux quatre coins du monde. »

Ceva confirme son souhait de maintenir un lien fort avec le programme de thérapie génique de l’Université de Pennsylvanie, pour explorer de nouvelles opportunités de développements de produits où ces types de technologies de rupture peuvent être appliquées au profit de la santé animale. L’entreprise installée à Libourne en Nouvelle-Aquitaine et présente dans 110 pays emploie aujourd’hui plus de 7.000 collaborateurs répartis dans 47 pays pour un chiffre d’affaires de 1,5 milliard d’euros.

Antonin Tabard