MSD France place l’innovation au cœur de sa stratégie

« MSD est un laboratoire international de recherche dont l’ADN, depuis plus d’une centaine d’années, est vraiment de mettre à disposition des patients des médicaments et des vaccins qui viennent révolutionner la santé et répondre à des besoins médicaux extrêmement importants, nous explique Clarisse Lhoste, présidente de MSD France. Notre rôle en France, c’est de tout faire pour accélérer l’accès des patients aux innovations développées par notre groupe et de permettre de répondre à un besoin médical qui est aujourd’hui extrêmement important. »

Lamia Boudiaf et Clarisse Lhoste nous ont dévoilé les dernières innovations thérapeutiques développées par MSD France.
Lamia Boudiaf et Clarisse Lhoste nous ont dévoilé les dernières innovations thérapeutiques développées par MSD France. (Crédit : ON HEALTH)

L’année 2025 devrait marquer un tournant dans la stratégie de recherche et développement du groupe. En investissant près de 30 % de son chiffre d’affaires en R&D chaque année, le laboratoire a vu son pipeline progresser, tant en termes de nombre de molécules en phase avancée de développement qu’en termes d’aires thérapeutiques explorées. MSD propose aujourd’hui 11 vaccins contre 16 maladies infectieuses, et, en France, ce sont plus de 4 700 patients qui sont inclus dans leurs quelque 180 études cliniques.

MSD France investis dans les besoins médicaux non couverts

Si MSD France est aujourd’hui un acteur majeur de la vaccination, occupant une place de choix dans la campagne vaccinale contre les virus HPV, mais aussi grâce à un nouveau vaccin contre le pneumocoque, la filiale française du laboratoire pharmaceutique Merck & Co investis aussi dans les besoins médicaux non couverts, notamment dans les maladies rares.

« Parmi les dernières innovations, détaille Lamia Boudiaf, directrice médicale de MSD France, une innovation dans une maladie rare et grave : l’hypertension artérielle pulmonaire. La HTAP touche environ 3 000 à 3 5000 patients en France. Sans traitement, nous avons une survie moyenne de moins de trois ans, et sous traitement, nous sommes aux alentours de six ans. L’innovation dont nous parlons aujourd’hui est un nouveau traitement qui va s’adresser non pas aux symptômes, mais aux causes sous jacentes de la maladie, avec des résultats qui ont permis d’obtenir une autorisation de mise sur le marché européenne cet été et des accès précoces de la Haute Autorité de Santé, en attendant que ce produit soit disponible dans le droit commun. » 

Antonin Tabard