Le CHU Dijon Bourgogne innove au service de ses patients

Vendredi 24 janvier, le CHU Dijon Bourgogne présentait ses vœux, en la personne de son directeur général Freddy Serveaux, et en présence du Professeur Alain Bonnin, président de la Commission médicale d’établissement, et de Nathalie Koenders, maire de Dijon et vice-présidente du Conseil de surveillance de l’établissement de santé dijonnais. L’occasion de revenir sur les temps forts de l’année 2024 et de se projeter en 2025, pour cet établissement de santé porteur d’innovations et qui participe à l’attractivité de la métropole.

Freddy Serveaux, directeur général du CHU Dijon Bourgogne, a présenté les vœux de l'établissement de santé dijonnais, aux côtés du Professeur Alain Bonnin, président de la Commission médicale d'établissement, et de la maire de Dijon, Nathalie Koenders, aussi vice-présidente du Conseil de surveillance du CHU.
Freddy Serveaux, directeur général du CHU Dijon Bourgogne, a présenté les vœux de l’établissement de santé dijonnais, aux côtés du Professeur Alain Bonnin, président de la Commission médicale d’établissement, et de la maire de Dijon, Nathalie Koenders, aussi vice-présidente du Conseil de surveillance du CHU. (Crédit : ON HEALTH)

« L’attractivité d’une métropole, c’est aussi l’attractivité de ses entreprises et de ses services publics, et le CHU contribue indéniablement à l’attractivité de notre métropole, classée dernièrement par Arthur Loyd comme la première métropole en termes d’attractivité, parmi les métropoles de taille intermédiaire », estime la première édile.

Un scanner photonique pour 2025

Parmi les projets annoncés lors de ces vœux, le CHU Dijon Bourgogne poursuit ses investissements pour continuer à améliorer son plateau technique. Après l’achat d’un quatrième robot chirurgical en 2024, l’établissement s’équipera dans les prochaines semaine d’un scanner photonique : « Seuls six CHU français disposent actuellement de ce type d’équipement. »

« Le CHU est le seul acteur capable de mettre, autour des patients et de la prise en charge de leurs besoins de santé, une multitude de compétences de très haut niveau qui s’incarnent dans des instituts hospitalo-universitaires, confie Freddy Serveaux. Alors que l’Institut de la fertilité a ouvert il y a maintenant un an, nous avons créé, il y a quelques semaines, l’Institut universitaires du rachis Dijon Bourgogne et dans quelques semaines, nous officialiserons la création d’un Institut universitaire Dijon Bourgogne du poumon. »

Antonin Tabard